C’est à la fois simple et compliqué.
4 pièges + 7 qualités
Avant d’entrer dans le vif du sujet, un petit mot : il ne vous aura pas échappé que des élections législatives se tiennent dans moins de 2 semaines.
Je voterai évidemment pour le Nouveau Front Populaire.
Comme évoqué la semaine dernière, j’ai pas la sensation d’avoir grand-chose à dire d’intéressant, surtout dans un cadre comme celui de cette newsletter où on partage globalement déjà les mêmes idées (et les mêmes déceptions).
Alors, voici juste 3 petites ressources qui donnent de l’élan :
Le canal Telegram “je vote le 30 Juin”, pour se motiver à agir et se tenir informé·e ;
Un article de Nicolas Galita sur les ressorts du vote RN. Ma partie préférée : “Tu n’es pas moins hypocrite ou inconséquent·e que les gens qui votent RN” ;
Des éléments de langage pour avoir des pistes de réponse quand on lance la discussion avec des gens qui sont tentés par l’abstention (document collaboratif dont j’ai pris connaissance via
).
Et maintenant, place à l’article du jour 🌱
Utiliser une intelligence artificielle générative comme Claude ou chatGPT, c’est à la fois simple et compliqué.
Simple : pas besoin de coder, ni même d’employer du jargon.
L’interface ressemble à celle d’un chat en ligne, comme on en a vu des milliers. Vous lui parlez dans le langage de la vie de tous les jours et le modèle vous répond de même.
Compliqué : les IA génératives sont un nouvel outil, ce qui veut dire qu’on n’est pas forcément au clair sur leur domaine de compétence, et qu’on peut les utiliser à contre-sens – comme si vous preniez une perceuse pour enfoncer un clou.
Et puis, même à l’intérieur des tâches qu’elles accomplissent correctement, on ne connaît pas toujours la façon d’obtenir un résultat de qualité.
Et c’est pour ça que