Disserter en long, en large et en travers sur les IA génératives sans vous expliquer comment je m’en sers, moi…
Ca me semble un poil hypocrite.
Emmanuel Macron et Manuel Valls ayant déjà rempli les jauges d’hypocrisie de l’univers pour les siècles des siècles, je vais éviter d’en rajouter.
Pour être honnête, dans le passé j’ai tenté d’utiliser l’IA pour préparer cette infolettre.
J’ai très vite arrêté, pour deux raisons.
D’abord, le résultat était mauvais : je n’ai presque jamais pu me servir de ce que l’outil me proposait et je polluais donc de façon totalement inutile.
Puis, avec du recul, j’ai réalisé que c’était n’importe quoi de contourner l’écriture alors que j’aime écrire, en particulier dans cette infolettre où ma liberté est absolue. Ca m’a rendue triste d’être infectée par la pensée productiviste au point de ne pas vouloir donner à ma passion du temps, de l’énergie et des brouillons ratés.
Aujourd’hui, ma charte IA tient en 3 points :
je m’engage à ne pas utiliser l’IA dans mes posts : ni pour trouver des idées, ni pour les rédiger, ni pour les améliorer ;
Si ça doit changer, je m’engage à vous le signaler et à vous expliquer précisément pourquoi ;
je m’engage à ne pas utiliser d’IA générative pour illustrer mes posts (en raison de leur coût écologique + le plagiat).
Bref, ce que vous lisez, c’est 100% certifié jus de cerveau Louise Morel.
(Beuuurk, “jus de cerveau”, j’aurais pas dû écrire ça. Je visualise un petit liquide rosâtre et trouble maintenant).
Mais je me sers des IA génératives dans d’autres contextes.
Quand, comment, pourquoi ?
Aujourd’hui, je vais tout vous raconter.
J’ai organisé cette confession intime en rubriques, pour que ça reste lisible et clair.
C’est un exercice vulnérable, d’autant plus que je sais à quel point le sujet déchaîne vite les passions.
Je compte sur votre bienveillance.
Comme je vais loin dans le détail et que ça en dit assez long sur certains aspects de ma vie privée, je ne me sens pas à l’aise de le mettre en accès libre : cet article est donc réservé aux personnes qui me soutiennent financièrement.
Allez, c’est parti !